Jeune short-tracker canadien de 20 ans, samuel gallant nous parle de son parcours, du C.R.C.E. et de son sport.
Lorsque l'on réussit c'est un moment incroyable ! |
1.Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Mon nom est Samuel Gallant, j'ai 20 ans, je fais du patinage de vitesse depuis que j'ai 6 ans. Je patine présentement avec le Centre d'Entrainement Régional de Montréal (CRCE).
2.Qu’est-ce qui vous plaît dans ce sport ?
J'aime beaucoup la compétition, pas seulement avec les autres, mais aussi avec moi-même. Les sensations du patin sont incomparables avec les autres sports, il y a tellement d'aspects à maîtriser que lorsqu'on réussit c'est un moment incroyable !
Mon nom est Samuel Gallant, j'ai 20 ans, je fais du patinage de vitesse depuis que j'ai 6 ans. Je patine présentement avec le Centre d'Entrainement Régional de Montréal (CRCE).
2.Qu’est-ce qui vous plaît dans ce sport ?
J'aime beaucoup la compétition, pas seulement avec les autres, mais aussi avec moi-même. Les sensations du patin sont incomparables avec les autres sports, il y a tellement d'aspects à maîtriser que lorsqu'on réussit c'est un moment incroyable !
On s'entraîne jusqu'à 12 fois par semaines |
3.Pourquoi avoir choisi la piste courte ?
Au Québec, et plus particulièrement à Montréal, il n'y a pas encore les infrastructures nécessaires pour le « longue piste ». Mais de toute façon, je crois que je suis plus attiré naturellement vers le « courte piste » et ses courses remplies d'actions..
4.Vous êtes au CRCE, comment l’avez-vous intégré et y faites-vous ?
J'étais au club de patinage de vitesse de Montréal-Nord, puis à Point-Aux-Trembles avant de rentrer dans les critères de sélections du C.R.C.E. qui m'a alors envoyé une invitation. On s'y entraîne beaucoup, jusqu'à 12 fois par semaine pour atteindre le niveau de l'équipe nationale.
5.Votre objectif est l'équipe nationale. Aimeriez-vous suivre les pas de champions tel que Pascal Dion ou les frères Hamelin (Charles et François) ?
Oui, exactement. J'ai patiné avec Pascal à Point-aux-Trembles avant d’intégrer le C.R.C.E. et j'y coache maintenant avec lui. Son parcours m'inspire et me pousse à m'entraîner beaucoup pour atteindre mon plus grand potentiel. Quant à Charles Hamelin, c'est une grande inspiration pour tous les Canadiens, c'est un modèle de dévouement à l'entraînement et qui a un grand désir de gagner à chaque course.
Au Québec, et plus particulièrement à Montréal, il n'y a pas encore les infrastructures nécessaires pour le « longue piste ». Mais de toute façon, je crois que je suis plus attiré naturellement vers le « courte piste » et ses courses remplies d'actions..
4.Vous êtes au CRCE, comment l’avez-vous intégré et y faites-vous ?
J'étais au club de patinage de vitesse de Montréal-Nord, puis à Point-Aux-Trembles avant de rentrer dans les critères de sélections du C.R.C.E. qui m'a alors envoyé une invitation. On s'y entraîne beaucoup, jusqu'à 12 fois par semaine pour atteindre le niveau de l'équipe nationale.
5.Votre objectif est l'équipe nationale. Aimeriez-vous suivre les pas de champions tel que Pascal Dion ou les frères Hamelin (Charles et François) ?
Oui, exactement. J'ai patiné avec Pascal à Point-aux-Trembles avant d’intégrer le C.R.C.E. et j'y coache maintenant avec lui. Son parcours m'inspire et me pousse à m'entraîner beaucoup pour atteindre mon plus grand potentiel. Quant à Charles Hamelin, c'est une grande inspiration pour tous les Canadiens, c'est un modèle de dévouement à l'entraînement et qui a un grand désir de gagner à chaque course.
C'est un mélange de sports extrêmes, d'endurances et de sprints !
6.Espérez-vous participer un jour aux Jeux Olympiques?
Je l'espère! C'est définitivement le but ultime.
7.Votre sport est très peu connu en France, que diriez aux Français pour les y intéresser?
Il suffit probablement de regarder quelques courses pour voir à quel point ce sport est spectaculaire. C'est un mélange de sport extrême avec des sports d'endurances et de sprints.
Je l'espère! C'est définitivement le but ultime.
7.Votre sport est très peu connu en France, que diriez aux Français pour les y intéresser?
Il suffit probablement de regarder quelques courses pour voir à quel point ce sport est spectaculaire. C'est un mélange de sport extrême avec des sports d'endurances et de sprints.
8.A contrario, au Canada et surtout au Québec, le short-track est très populaire. Pourquoi ?
Je crois que cela vient de la culture nordique du pays. Ici, tous ce qui est sport d'hiver est très populaire. On a aussi un palmarès en « courte piste » qui génère continuellement de l'engouement. 9.Que ressent-on lorsque l’on patine devant des milliers de spectateurs ? Je ne prête pas souvent attention à la foule quand je patine mais quand il y a beaucoup de bruit, ça donne un coup d'adrénaline et tout notre corps peut en ressentir la vibration. |
Samuel Gallant (n°3), en pleine action / © PassionPVSS.com
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Par Hugo Bâcle
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